Installations/vidéos
Gravity
2016
Installation : petit coin isolé, 2 tablettes et 2 poufs
Vidéos Animation 3D
Série destruction: 00:35:62
Série basculement: 1:13:13
Dimensions : 1920 x 1080 pixels (67,73 x 38,1 cm)
Logiciel 3D: Maya et 3Ds Max
Windows Live Movie Maker
Il s’agit d’une fiction où, dans un espace de type white cube, des œuvres minimalistes sont détruites ou se font bousculer par quelque chose d’invisible. La gravité présente ou absente selon la série, ainsi que l’usage du numérique de façon la plus « simple » possible, procurent l’impression d’une vision intérieure. L’idée d’un espace imaginaire où nos pulsions refoulées s’expriment.
Les vidéos sont présentées sur des tablettes aux formats moyens qui sont accrochées au mur pour rappeler l’idée d’une vision limitée du monde due aux écrans d’ordinateurs.
Des poufs sont présents en face de chaque tablette pour que le spectateur puisse s’asseoir et prendre le temps de regarder la vidéo, comme il le ferait chez lui devant sa télévision ou son ordinateur.
SHRAEH
2014
Installation : bois, liège, papier, photos numériques, pastel à craie, punaises, trombones, cassette audio (entre 1 et 2 min).
Dimensions : 61 x 49 x 1,8 cm.
Il s’agit d’une installation (sous forme d’enquête policière) regroupant des écrits, des photographies et un enregistrement audio sur une histoire fictive qui aurait eu lieu dans les années 80 au Havre.
La pièce a une double lecture : l’enquête policière avec ce que la police a trouvé sur le lieu du « crime » (notes scientifiques, photos du lieu, et la cassette audio retrouvée) et l’histoire de ce cobaye dont la vie (un évènement de sa vie) est racontée à travers les notes du scientifique ainsi que ses dernières paroles (en langage morse) enregistrées sur la cassette audio retrouvée.